Bienvenue chez Ed

A l'époque du lycée, jeune et débordant d'imagination mais ne sachant pas encore bien dessiner, je choisissais alors la solution de l'écriture. Ainsi sont nées les petites histoires qui suivent. Certaines phrases sont mal tournées et des affreuses fautes d'orthographe et de syntaxe parsèment le récit, mais je n'ai pas voulu les corriger. Je préfère que vous les lisiez en l'état. Rappelez-vous juste que j'avais 15 ans, soyez indulgent.

Les histoires sont en général un mélange de policier, suspense, frayeur et beaucoup d'humour noir (qui tournait parfois dans le très gore !). Les private jokes étaient fréquentes, mais heureusement je privilégiais les tournures de phrases amusantes, ce qui rendait le contenu tout public. Si vous souhaitez connaître ce vieux penchant de moi-même, c'est parti !...



Septembre, le 22

Septembre, le 22 : Tout juste âgé de 20 ans, Pierre Joutèle se voit confié le poste d'Inspecteur de la Criminelle de Bourges. Un poste de confiance qui va marquer un tournant de sa vie puique quelques années plus tard, on lui attribue l'enquête du suicide de ses parents qui va le plonger dans un profond tourment. Pourtant, ce n'est que le début d'un long combat entre lui et la funeste date de Septembre, le 22.
Une histoire policière avec ambiance à la Seven.
C'est là la seule histoire que j'ai développée assez pour appeler ça une nouvelle, que j'avais fait imprimer et relier dans un bel étui de 25 pages, le tout sous une couverture faite maison. Ca me paraissait énorme à cette époque là.




Le masque : une petite histoire d'une page que j'aime bien. Ambiance un poil malsaine, mais humour noir à la fin.

Obstination : une petite histoire d'une page dont je suis moins fier. Le rendu est assez banal mais bon, je vous la présente quand même pour le fun.

Résignation : une petite histoire d'une page assez banale aussi et tirée par les cheveux, mais je trouvais le thème joli à l'époque.

Premiers ébats : alors là, j'adore ! Même avec les années passées, je me fends la poire en relisant cette histoire d'une page. Beaucoup d'humour pour une histoire très décalée. Je pense que j'avais trouvé là mon style d'écriture le plus efficace.

Au fin fond de Novotel : J'aime beaucoup relire celle-là aussi. Il faut juste savoir en contexte que cette histoire se passe sur mon lieu de stage de l'époque : Novotel Bradford en Angleterre. Du coup, tous les personnages étaient mes collègues. Et pris d'une envie de leur rendre hommage, j'avais écrit cette nouvelle où une contagion se répand dans l'hôtel-restaurant et transforme ses habitants en zombie. Du grand délire marrant à souhait.